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L’Eglise et l’Etat communiste: la coexistence impossible - livre

Dès le titre du livre, s’annonce un problème qui tient en haleine les nombreuses personnes, même non catholiques, qui considèrent avec appréhension l’avenir de la civilisation occidentale, édifiée sous l’inspiration directe et millénaire de l’Eglise Catholique.

L’auteur est le leader du mouvement catholique anticommuniste le plus important du continent américain, et celui qui a sûrement trouvé la plus grande réussite au monde. Fondateur et président de la Société Brésilienne de Défense de la Tradition, Famille et Propriété, le Professeur Plinio Corrêa de Oliveira est devenu le maître à penser de tous les mouvements nationaux qui, se sont déjà établis pour défendre les trois principes fondamentaux de la Civilisation Chrétienne qui forment leur devise: la TRADITION, la FAMILLE et la PROPRIÉTÉ.

Y a-t-il un moyen d’établir une coexistence pacifique entre les catholiques et les communistes?

Nombre de catholiques pensent que c’est en effet possible. Et l’esprit de lutte laissant la place à l’esprit de compromis, leur position se trouve considérablement af­faiblie.

De leur côté, les communistes font tout ce qui est en leur pouvoir pour obtenir une réponse positive; et, pour faciliter la chose, ils ébauchent une détente en trompe­ l’oeil: c’est la politique des sourires et de la main tendue.

Ainsi l’assouplissement de l’attitude communiste d’une part, et la généralisation de l’esprit d’accord à tout prix d’autre part, justifient et accélèrent la politique de détente.

 Ce relâchement des esprits est le grand responsable de toutes les défaites subies successivement par l’Occident ces dernières années. Le désastre indochinois en est un exemple, et préfigure le désastre final auquel cette position de faiblesse nous conduit.

Il s’agit donc, si l’on veut sauver la Chrétienté, de répondre à la question suivante: Comment démontrer la vanité des espoirs de détente occidentaux et l’inconsistance de la trompeuse bonne volonté communiste?

Il est un point sur lequel les soviétiques ne transigent pas, sans perdre toutefois leur sourire, et auquel ils opposent un NIET feutrémais absolu. Ils sont bien disposés à certaines concessions, plus ou moins douteuses, dans le domaine de la liberté religieuse. Mais c’est surtout ce qui concerne la propriété privée qu’ils demeurent intraitables, fidèles en cela à l’enseignement de Lénine.

Les catholiques sont donc en face d’un dilemme: ou bien accepter une société sans propriété privée, ou bien renoncer au mythe de la détente.

Si l’on prouve qu’au nom de leur Foi ils ne peuvent renoncer ni au principe de la propriété privée, ni au droit de réclamer celle-ci publiquement (car l’Eglise ne peut se résoudre à taire une partie de l’Enseignement Divin), la détente entre l’Eglise et l’Etat Communiste est définiti­vement vouée à l’échec.

C’est cette démonstration-là que donne ce livre, et c’est pourquoi il devient chaque jour plus actuel.

Il serait erroné de croire, aujourd’hui, que la défense d’un pays contre le communisme consiste à se prémunir contre le « Grand Soir », ou une autre « Nuit des Longs Couteaux ». Il s’agit au contraire de le protéger de l’érosion provoquée par une législation communisante, ou qui fait avancer la société dans le sens du socialisme. Ne trouve-t-on pas un exemple de cette patiente usure des institutions dans le « changement », les « réformes » du « libéralisme avancé » ? Et vers quoi s’avance donc ce libéralisme, si ce n’est vers une société socialo­communiste?

Nous avons largement fait usage du terme de commu­nisme. Ce faisant, il faut bien préciser que nous ne visons pas seulement le Parti Communiste. Nous pensons aussi au socialisme, sous tous ses déguisements; au socialisme qui dans la formulation même de ses doctrines emprunte tant au communisme, et qui, de toutes manières, ne fait que préparer à l’acceptation de celui-ci, à plus ou moins brève échéance, en dépit de la farce d’opposition que ces deux faux-adversaires se jouent dans l’immédiat pour l’édification des naïfs et des tièdes.

Jeunes, Français, Catholiques, nous croyons à la peren­nité de la Sainte Eglise et à l’avenir de notre Patrie, indissolublement liées. Et nous espérons que la diffusion de cet essai aidera les français à démasquer le loup déguisé en brebis qui s’est infiltré dans les rangs catholiques, afin que, par la grâce de Notre Dame de Lourdes, la devise de la bergère de Domrémy devienne enfin en France une réalité: « Dieu premier servi! »

Une initiative de plus pour affirmer que la France a bien besoin de la culture chrétienne et qu’elle a bien besoin de la Sainte Vierge.

Si vous préférez, vous pouvez demander la version imprimée. Merci de nous appelez au 0 810 510 030 ou remplir le formulaire ci-dessous :





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