« Votre étude est réellement, (...) à mon humble avis, une très riche table analytique de l'Encyclopédie monumentale concernant toute la théologie de l'histoire : celle que votre intelligence lucide et perspicace, votre vaste culture, vos dons littéraires, votre sûreté doctrinale, philosophique et théologique, pourraient produire pour le plus grand bien de notre pauvre monde désorienté, égaré et, à cause de cela, profondément angoissé. Nous aurions alors une édition actualisée, augmentée et complète de l'œuvre grandiose de saint Augustin De civitate Dei, pour les hommes d'aujourd'hui et particulièrement pour les chrétiens d'aujourd'hui ».
- Révérend père C. Dainese S.J. supérieur de la résidence des Pères Jésuites à Rio
« Votre excellent ouvrage est fort bien écrit, et mieux encore pensé. C’est avec le plus grand intérêt que j’ai relu ces pages prophétiques d’une si haute conception de l’histoire ».
- Comte de Neufbourg, membre correspondant de l'Institut
« Aussi, est-il plus opportun que jamais que des penseurs et des écrivains comme vous, qui jouissez d’un rayonnement international, disent en face à la révolution triomphante ce qu’elle est dans son essence, dans son principe (...) ».
- Marquis de la Franquerie, écrivain
« Je vous remercie infiniment de m’avoir envoyé la traduction en français de votre livre Révolution et Contre-Révolution. C’est un livre admirable qui pourra faire beaucoup de bien s’il est connu. Et c'est pourquoi je ferai de mon mieux pour le diffuser ».
- Paul Scortesco, écrivain et journaliste, Paris
« Il n'est pas exagéré de dire que ma conviction contre-révolutionnaire s'est trouvée renforcée et illuminée par ce magistral exposé : j’ai tout spécialement apprécié la rectitude de [sa] pensée et la profondeur de sa foi religieuse ».
- Baron Maurice de Charrette
« C’est une magnifique étude et une lucide analyse des maux dont souffre notre temps. C’est une explication de notre temps. Des deux mains j'applaudis à tout ce que vous exposez et je voudrais que ce livre soit abondamment répandu en France ».
- Paul Lesourd, professeur à l’Institut catholique de Paris
« Je suis, du reste, très dispose à penser qu’il s’agit là d'un monument, qui devrait avoir sa place dans l’histoire de la pensée catholique. Votre travail me paraît capital, c’est une somme ; la question est enfin posée dans toute son ampleur, toutes ses dimensions, avec la science d'un théologien, d’un historien, la présentation d’un avocat qui connaît sa cause et veut convaincre et y parvient. Mais vous avez eu le mérite de ne pas demeurer là. C’est alors qu’apparait l’homme d'action, derrière l’homme de science. Je dirais même que l'un et l’autre se confondent dans le plan de mise en œuvre pour conduire la Contre-Révolution ».
- Comte René Régis de Coniac, Angers