C’est avec horreur et une tristesse indicible que le monde entier a vu Notre-Dame, joyau de la chrétienté, dévorée par les flammes, alors même qu’une vague de profanations touche nos sanctuaires.
Notre-Dame de Paris est devenue, au moment même ou commence la Semaine sainte, Notre-Dame des douleurs.
Le courage des pompiers ont permis de sauver les tours et les murs. Mais la flèche qui pointait vers le ciel, s’est effondrée sur elle-même.
Comment ne pas voir dans cette tragédie le symbole du mal qui ronge la France, autrefois perle du monde chrétien ?
Un incendie impie dévore notre pays, alimenté par l’obsession égalitaire qui détruit tout ce qui rappelle, par sa verticalité, la direction du Ciel. Ce feu proprement infernal, s’élève parfois, hélas, de l’intérieur même de l’Église, donnant l’illusion que celle-ci va s’écrouler.
Fluctuat nec mergitur, battue par les flots, elle ne sombre pas… La devise de Paris, s’applique avec certitude à la Rome éternelle. C’est pourquoi les ruines de Notre-Dame ne doivent pas conduire les catholiques au désespoir.
Au contraire, comme pour les fidèles massés sur les quais de la Seine et qui priaient, elles doivent être l’occasion de nous tourner vers la Sainte Vierge et lui demander la force d’éteindre le mal qui consume la France.
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