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Chine 24 de septembre 2020 (TFP France) - Le mépris de la Chine pour la vie humaine et sa propagation irresponsable du coronavirus chinois permettent d’espérer n’importe quoi. Donc il n'est pas surprenant que Pékin utilise ses citoyens comme rats de laboratoire dans les essais de vaccins contre le coronavirus.
Les essais irresponsables de vaccins sur les humains sont toujours répréhensibles car ils mettent leur vie en danger. Cependant, il semble que le cas du COVID-19 et des virus similaires présentent des risques encore plus importants. Les dirigeants communistes chinois sont conscients que le coronavirus chinois contient très probablement une anomalie appelée ‘antibody-dependent enhancement’ (ADE en anglais, ou «?facilitation dépendante des anticorps?»). Cette caractéristique provoque des infections multiples du même virus, les infections ultérieures étant plus mortelles que les précédentes lorsqu’un vaccin mal développé a été administré.
Si l’ADE est présent dans le coronavirus, un vaccin défectueux fera en sorte que les anticorps d’une personne réinfectée aggravent le virus plutôt que de le combattre.
Deux souches très connues du coronavirus soulignent le problème. Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) sont étroitement liés au COVID-19. Ils présentent tous deux des signes d’ADE. En vue de cette possibilité, tous les essais cliniques de phase III des vaccins possibles ont été arrêtés en raison de ses dangers pour les patients humains. Ainsi, il n’existe à ce jour aucun vaccin pour ces maladies.
La revue scientifique Nature a publié une étude montrant la gravité du trait d’ADE dans les tests. Elle a noté que «?la question de savoir si le CoV-2 du SRAS peut provoquer des effets de l’ADE reste ouverte?», mais «?étant donné que l’ADE a été observée avec le CoV du SRAS, qui est étroitement lié à celui-ci?», des études supplémentaires doivent être menées sur l’ADE avant qu’un vaccin ne soit utilisé dans un grand nombre de la population.
La réalité est que la restauration de ce bijou historique n’est pas sa priorité. Pire, la municipalité envisage même de le démolir !
« J’ai aussi d’autres priorités : refaire le parquet de la mairie, poncer les fenêtres… », ose se justifier l’édile.
Dans son dernier carnet de route intitulé « Notre fascination pour la pierre », cite Valeurs Actuelles, le philosophe Gaspard Koenig s’étonne qu’« à Chaumes en Brie, au nom si prometteur, il n’y a plus ni chaume, ni brie mais des lotissements à la croissance si rapide qu’ils ne figurent pas sur (sa) carte IGN ». Et d‘estimer que « l’Homo Pavillonus ne sait pas où il habite ».
Ni d’où il vient puisqu’il ignore ses racines…et déprécie les vieilles pierres porteuses d’histoire.
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Cette attitude prudente s’est avérée fondée. Des essais expérimentaux de vaccins ont été menés sur des animaux atteints du SRAS, et les résultats ont montré que l’inflammation des poumons s’aggravait par rapport à ceux qui n’avaient pas reçu de vaccin. Sachant que l’ADE pourrait relier une deuxième souche virale aux récepteurs des cellules immunitaires, aucun essai de vaccin coronavirus ne devrait être mené sur des personnes avant que les essais sur les animaux ne prouvent que le vaccin ne pose aucun danger pour l’homme.
Cependant, ces études ne signifient rien dans la Chine communiste. Dans la course de Pékin pour prouver au monde libre qu’elle peut produire un vaccin contre le virus qu’elle est soupçonnée d’avoir créé, la Chine communiste a décidé de procéder à des essais de vaccins sur des humains, qui sont contraires à l’éthique.
Sans preuve concrète que le coronavirus ne provoquera une seconde infection pire encore, en utilisant le mauvais vaccin, le PCC a donné le feu vert à des essais cliniques de phase III avec des vaccins produits par quatre laboratoires chinois. Un essai clinique de phase III implique généralement trois mille personnes et peut durer plusieurs années. Il vise à comparer le nouveau traitement avec les traitements existants pour la même affection.
Les entreprises publiques et l’armée ont ordonné à leurs employés et à leurs soldats de participer à ces essais. Non content d’infecter les citoyens chinois, un laboratoire a commencé à effectuer des tests sur trente mille personnes en dehors de la Chine. Un grand nombre de personnes sont donc inutilement exposées à des vaccins qui pourraient leur nuire.
Pendant ce temps, le Parti communiste chinois cherche à faire des profits. Plus de 140 vaccins contre le coronavirus (SRAS-CoV-2) sont en cours de développement, tous en concurrence pour commercialiser un remède efficace contre le virus. Les chercheurs chinois espèrent prendre de l’avance sur leurs concurrents en contournant les protocoles de sécurité. Les spécialistes médicaux ont mis en garde le PCC contre l’ADE, mais en vain.
Les communistes n’ont jamais suivi les protocoles et les règlements alors qu’ils peuvent en tirer profit en les ignorant. Pékin ne reculera devant rien pour apparaître comme le sauveur de la débâcle qu’il a contribué à propager -- tout en vendant un remède qui promet d’être pire que la maladie.
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