Monseigneur Viganò a exhorté les catholiques à ne pas permettre que « les libertés de l'Église soient limitées par l'excuse d'une soi-disant épidémie ! »
Argentine, le 28 avril 2020 (TFP France) - Ce douloureux évènement est un signe de plus de la persécution des catholiques en ces temps du coronavirus, cette fois en Argentine où les règles de confinement sont appliquées de manière particulièrement sévères…Cela se passe début mai, à San Luis, dans le centre du pays.
La police argentine a arrêté dix fidèles pour avoir assisté à une messe célébrée par un prêtre de 79 ans, le père José Mendiano, passant outre les consignes en vigueur dans la région.
Selon un média local, l’un des paroissiens, Enrique Miranda, avocat, a déclaré aux médias après son arrestation: « Cela doit être dit une fois pour toutes. C'est un grand cirque, il n'y a pas de pandémie ici. » De fait, la province de San Luis, qui compte une population de près d'un demi-million de personnes, n'a signalé à ce jour que dix cas confirmés de coronavirus, ainsi que trois cas suspects…
Il a souligné que « la loi peut stipuler tout ce qu'elle veut, mais en matière de foi, c'est exclusivement la compétence de l'Église catholique. » Enrique Miranda a ajouté que le gouvernement national « a tort s'il pense que nous allons nous prosterner devant lui ».
Suite à l’incident, l’évêque local Pedro Daniel Martínez Perea, n'a pas défendu son prêtre pour avoir fait participer plusieurs personnes à sa messe, et n'a apparemment pas non plus protesté contre les ordres de mise en quarantaine du gouvernement.
Principio del formularioFinal del formularioIl s’est contenté de féliciter la petite communauté pour sa « bonne intention » dans l'observation des mesures de distanciation sociale, mais lui a reproché d’avoir enfreint « une règle objective ».
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À propos de l'interdiction des messes publiques, le cardinal Viganò, ancien nonce apostolique des États-Unis, a déclaré récemment que « les fidèles ont le droit, ainsi que le devoir, d'assister à la messe, de se confesser, de recevoir les sacrements: c'est un droit qui leur vient en tant que membres vivants du corps mystique en vertu de leur baptême. »
« Les pasteurs ont donc le devoir sacré - même au péril de leur santé et le cas échéant, de leur propre vie - de réaliser ce droit des fidèles, et pour cela, ils devront répondre à Dieu, non au président de la [ Conférence des évêques italiens] ni au président », a souligné le prélat.
Enfin, Monseigneur Viganò a exhorté les catholiques, en particulier les membres de la hiérarchie, à ne pas permettre que « les libertés de l'Église soient limitées par l'excuse d'une soi-disant épidémie ! »
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Source : ?https://www.lifesitenews.com
Photo : https://www.canva.com/
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Le Diable SATAN est dans le cœur et l’âme de beaucoup de monde.
Quelle Honte sur ces policiers d’avoir agis ainsi.